Si on m’avait donné un euro à chaque fois que j’ai juré d’ouvrir mon blog, j’écrirais aujourd’hui ce billet depuis le toit terrasse de mon loft de Manhattan. Ou plutôt, je le ferai écrire par mon clone.
Mais à force d’évoquer ce blog dans lequel je mettrais plein de choses géniales, j’ai été prise au mot. Et surtout au dépourvu quand un ami (Wally Wallendorff pour ne pas le nommer) en a ouvert un pour moi avant de me dire qu’il ne me restait plus qu’à y déverser le trop-plein de mon neurone dedans.
Donc voilà, c’est fait, c’est ouvert, c’est encore bien vide et ça sent la peinture fraîche.
A très vite,